QU’EST-CE QUE GVS? 

Tandis que nous menons notre expérience de l’existence humaine sur terre, quelle chanson chantons-nous, quelle danse dansons-nous, quelle peinture peignons-nous et quelle musique jouons-nous?

Quelle est donc la finalité de notre société mondiale ? Il y a fort à parier que cette question a traversé l’esprit de plus d’un citoyen de notre planète.

S’agit-il encore et toujours de réaliser des bénéfices, d’accumuler autant de richesses que possible – et souvent au détriment d’autrui –, d’être le premier en tout, de vouloir à tout prix arriver en tête de tout, au risque de se retrouver en désaccord total avec la nature, avec notre corps, avec notre nature profonde, bref, en déphasage absolu par rapport à la nature divine, jouant le jeu de l’éternelle dichotomie politico-sociétale entre la gauche et la droite, dichotomie artificielle autant que périmée, qui consiste à écrire un nouveau pseudo-traité scientifique, un de plus, et de prétendre qu’il va changer la face du monde…

Si c’est le cas – et c’est souvent le cas – croyez-vous sincèrement qu’il s’agisse là du but ultime de notre petite vie terrestre, la satisfaction d’avoir fait un passage marqué sur la planète ?

Réfléchissez un peu…

Avez-vous déjà songé aux peuples d’Afrique, de Syrie et du Bangladesh ? Que doivent-ils éprouver en ce moment, oui, là, maintenant ?

Pensez-vous vraiment qu’ils puissent encore peser dans cette équation du pouvoir ? Réfléchissez un instant…

On parle, on parle, mais ne serait-il pas temps d’arrêter de parler et d’enfin agir ?

Nous sommes entrés dans l’ère de la communication à l’échelle mondiale, et nous sommes fiers d’être connectés en permanence…

Et j’entends la plupart des gens penser qu’on n’a jamais autant communiqué (en temps réel) que dans nos sociétés évoluées…

Sans doute. Mais qu’en est-il de la qualité de cette communication ?

N’êtes-vous pas d’avis qu’une évolution est en train de se produire, que l’on est en train de passer du monde réel au monde virtuel ?

Mais qu’on se rassure, je suis d’accord avec vous : nous vivons probablement l’époque la plus passionnante de toute l’Histoire humaine…

Grâce à l’Internet, n’importe qui dans le monde n’est qu’à un clic de souris…

Constantly regard the universe as one living being, having one substance and one soul; and observe how all things have reference to one perception, the perception of this one living being; and how all things act with one movement; and how all things are the cooperating causes of all things which exist.

Marcus AURELIUS

Et pourtant, que partageons-nous réellement avec les autres, alors que nous cliquons et cliquons encore ?

Qu’est-il advenu du réseau intérieur, en d’autres termes, de l’esprit humain ?

Pensez-vous, vous aussi, qu’il est temps de redéfinir cette ère dans laquelle nous vivons ?

L’ère de l’exercice responsable et éthique.

Et du même coup, on pourrait aussi redéfinir la responsabilité sociétale et en faire une responsabilité sociétale-spirituelle.

N’est-il pas temps de sortir de l’obscurité de nos connexions et de penser librement, et non virtuellement ?

N’est-il pas temps d’abandonner notre petit confort, nos agendas cachés, et d’arrêter de tenter à tout prix de sauver les apparences ?

N’est-il pas temps d’envisager la transition du virtuel au réel et de redevenir enfin des êtres humains ?

Et de saisir le sens de ce qui se cache derrière les apparences ?

Et de relever le nez de son iPhone, de son iPod, de son iPad pour recommencer à se saluer dans la rue, dans le bus, dans le métro, plutôt que de rester i-centré du matin au soir ?

Et d’oser à nouveau regarder les autres dans les yeux, sans crainte, juste pour leur montrer ce que l’on est vraiment, un être humain pétri d’amour et d’attention ?

Quel bonheur de se voir adresser un sourire, de sentir une accolade, de faire l’objet d’un petit signe de respect et de dignité! N’êtes-vous pas d’avis que le moment est venu de vraiment changer, de mettre de côté le moi pour lui substituer le nous, de mettre fin à l’esprit de compétition pour renforcer la coopération, bref, de remplacer l’avoir par l’être ?

La seule chose que l’on ne puisse posséder, c’est la bonté : on n’a pas bon, on est bon…

 

GlobalVisionSharing.com, GVS, c’est VIVRE la différence et non simplement être différent !

Et le paradoxe, c’est qu’en VIVANT cette différence (en étant créatif, intuitif, responsable, aimant et attentionné), on devient… soi-même.

Et aucune force au monde ne peut empêcher quelqu’un qui est en train de devenir lui-même de tisser son réseau, de se connecter aux autres par le biais du cœur et de l’âme.

N’êtes-vous pas d’avis que l’on a suffisamment passé de temps à faire du « remue-méninges », de la « réflexion » ?

Ne pourrait-on pas se lancer dans le « partage d’âmes » ?

Oui, partager ce qu’il y a de plus précieux : SOI-MEME !

Et partager avec tous les autres SOI-MEMES de la planète, sans idée préconçue, sans intérêt égocentrique, sans égocentrisme motivé par la crainte de je-ne-sais-quoi…

La clé : ne pas réfléchir à partager, mais partager réellement. Allez-y, partagez, et éprouvez cette bénédiction, cette chaleur que l’on ressent chaque fois que l’on partage…

Ce changement est tout simple : apprendre en faisant, exister en partageant, aimer en rayonnant ! Bref, être et devenir SOI-MEME !

Il s’agit, en d’autres termes, d’envisager notre avenir commun avec des yeux nouveaux, avec une vision globale, et non simplement de comprendre les choses de façon purement rationnelle.

C’est là la vraie « renaissance », notre ré-enchantement et celui de la nature.

Peut-être vous dites-vous que c’est faire preuve de naïveté que de croire cela, que c’est illusoire, impossible, un rêve…

Mais si vous réfléchissez, si vous plongez dans les tréfonds de votre être, vous confrontant à vous-même et rien qu’à vous-même, pensez-vous encore que ce soit faire preuve de naïveté, de légèreté d’esprit, que tout cela soit impossible, du domaine du rêve ?

Allez-y, réfléchissez…

Tout est réel. Ce qui nous amène à croire que ce ne l’est pas, c’est tout bonnement une conviction mondiale, une volonté mondiale de repousser les frontières de cette réalité.

La question reste entière : souhaitons-nous vraiment, oui, vraiment, que ce rêve devienne réalité ?

Sommes-nous prêts, nous toutes et tous, à amorcer le changement?

Oui, nous pouvons faire du simple rêve une réalité concrète, en étant, en étant nous-mêmes, et en faisant en sorte que le monde soit lui aussi lui-même et devienne ainsi, enfin, un endroit où il fait bon vivre.

Oui, mais… qu’attendons-nous?

Avez-vous cette fibre créative qui vous permettra de concrétiser tout cela?

Dans ce cas, rejoignez-nous et partagez votre passion, votre enthousiasme et votre engagement pour le plus grand bien de l’humanité et de notre précieuse planète.

Rayonnons, sortons du lot et agissons, tous ensemble !